Marianne PERREAU

Costumière

A la base du métier de costumière, il y a une passion. Passion pour l’Histoire, passion pour la Mode, passion pour l’Art…. et qui dit passion… dit collection !

Marianne ouvre les portes de sa collection et vous propose une plongée dans l’univers du costume de scène mais par là où tout commence. Là où l’on va dénicher les pièces qui composeront la panoplie et l’identité d’un rôle : le stock de costumes et d’accessoires.

En mêlant intimement patrimoine et costume, c’est au travers de l’histoire de sa famille que Marianne parcours le vêtement tout au long du 20e siècle, entre photo sépia et mousseline de soie, polaroïd et imprimé psychédélique.

Ces morceaux de tissus, ces petits riens portés par ses aïeux, Marianne les a précieusement conservés et leur redonne, aujourd’hui, une seconde vie sur les plateaux de cinéma.

Biographie
Des pages de ses cahiers d’écolière recouverts de croquis de costumes sortis tout droit de son imaginaire aux armoires remplies des robes fifties de sa grand-mère, Marianne a toujours évolué dans un univers rétro rempli de fantaisies.
Diplômée en Histoire de l’art à l’Université de Bourgogne, en valorisation du patrimoine rural à l’Université de Limoges et de l’école Esmod Paris spécialité création scénique, Marianne est costumière depuis 2011.
Du théâtre à la comédie musicale, de la haute-couture au cinéma, elle a collaboré cette année en tant que chef costumière sur plusieurs court-métrages pour France 2 et France 3 : « Rien qui sache mieux qu’elle s’absenter » d’Héloïse Beillevaire , « Anissa 2002 » de Fabienne Facco…17627_10204149105024740_4480132606405899344_n

En 2013, Marianne crée pour le Théâtre du Rabot les costumes du spectacle « Dans la peau d’Alice » dans le cadre du Festival des Curiosités de Montbard. Désirant s’éloigner le plus possible d’une vision classique du conte de Lewis Caroll, elle revisite les costumes du Lapin, de la Reine Rouge ou du Chapelier Fou en leur insufflant un esprit très « swinging London ».

à la recherche d'Alice
à la recherche d’Alice