Comme le temps passe et englouti le passé.
C’est brut et parfois agressif pour inspirer et atteindre la plus grande émotion.
En donnant du mouvement, du rythme, du bruit et la fureur du RER ou des véhicules qui saturent l’espace de la ville et qui la polluent.
Les formes sont déformées, torturées, nerveuses pour faire rejaillir le sentiment intérieur sur la réalité figurative. C’est pour montrer la faiblesse, la vulnérabilité, la souffrance et le mal de vivre, dans un environnement hostile.
Cela donne une vision certes sombre, pessimiste et brutale, mais vivante et animée par l’homme.
dossier artistique sp 187 2018